C’est quoi le bilan à ce stade de la transrégionale camerounaise (Transca) ?

L’événement entre dans un programme assez vaste. Depuis 12 ans, nous effectuons des compétitions de haut niveau, comme pour boucler avec notre saison sportive. la ville de Maroua a toujours représenté une partie importante non seulement sur le plan du cyclisme sur le plan géographique mais également une ferveur pour les jeune. Il est facile de déployer une centaine de cycliste dans la ville de Maroua plutôt que des dizaines de coureurs dans les autres villes que nous avons travers. Compte tenu de l’attrait que nous a présenté Sa Majesté, le Lamido, nous sommes entrés dans une sorte de symbiose. C’est le résultat d’un concours d’énergie complètement dévoué à la jeunesse.

Quelles sont les difficultés que vous avez rencontrées ?

Les difficultés sont d’ordre climatique qui a beaucoup affecté les membres de la caravane. Dieu merci, l’accompagnement des hommes de la santé, nous ont permis de nous en sortir la tête haute. Il y a eu aussi la question de repérage dans la ville de Maroua. Mais ce problème de repérage s’est vite dissimulé de par le repère du site de notre compétition. Cette générosité du Lamido doit être pris en exemple par d’autres localités qui ont tant besoin de l’événement de cette nature. J’en veux pour preuve, l’affluence des jeunes, de la présence du nouveau président de la Fédération tchadienne de cyclisme venu de l’Europe. Il est en même temps au Tchad et au Cameroun, vraiment c’est une très grande sympathie.

Propos recueillis par Yves Léopold Kom